Il est changeant, aimable, parfois embrumé, souvent discret comme s'il n'existait pas.
En sortant du jardin, à 20 mètres à gauche, je tombe sur une route départementale, et de l'autre côté de la rue, voila ce que je vois.

Il y avait ce jour là une lumière particulière, et même si j'ai pris la photo un peu vite, il y avait une ambiance que j'espère restituer un peu. En regardant bien, dans le fond de la vallée, on peut deviner les deux pylônes du pont Flaubert , et le soleil ruissèle encore sur Rouen.
Et puis, je tourne la tête et je découvre cet autre paysage, si proche et si différent, la lumière jouant dans les arbres. Là encore, la photo n'est peut être pas géniale mais je voulais éviter le cliché. Le château s'enflamme avec le soir tombant.

Ce week-end, mon regard ira de l'autre côté de la rue.
Bah dis donc, quand je regarde les deux de ma rue, je suis loin d'avoir de telles vues!;o)
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